Au sommaire :
– Canada, terre d’accueil des « agents blacs » !
Selon Rai al-Youm, la ministre canadienne des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, et le ministre canadien de l’Immigration, Ahmed Hussain, ont annoncé dans un communiqué conjoint : « Nous allons coopérer avec nos alliés internationaux pour accueillir les Casques blancs évacués de Syrie et leurs familles. » Les Casques blancs se présentent comme une organisation humanitaire alors qu’ils sont soutenus par l’Occident et chargés de mettre en scène des attaques chimiques en Syrie et pour accuser le gouvernement syrien de violations des droits de l’homme. De nombreux membres des Casques blancs sont en même temps membres à titre individuel d’al-Qaïda ou de Daech.
– Une base militaire française à Raqqa
Les forces de l’armée française déployées en Syrie ont l’intention d’établir une base militaire dans la région de Raqqa sous occupation américaine. Selon le rapport, les troupes militaires américaines sont en pourparlers avec les FDS pour améliorer les équipements de la base aérienne d’al-Tabqah, dans l’ouest de Raqqa, et en faire leur nouvelle base militaire dans la région l’année prochaine.
– Des Su-35 en route pour l’Indonésie
L’Indonésie compte toujours acheter 11 chasseurs russes Su-35 malgré la menace de sanctions américaines prévues par la loi CAATSA, selon le ministre indonésien de la Défense contacté par Sputnik. Auparavant, les médias ont rapporté que la réalisation du contrat sur la fourniture de 11 Su-35 à l’Indonésie, signé en février dernier, avait été reportée en raison de possibles représailles américaines prévues par la loi CAATSA qui impose des sanctions économiques contre toute entité ou tout pays ayant conclu des contrats d’armement avec des entreprises russes.
– Des sanctions anti-russes « tous les mois ou tous les deux mois » :
Les États-Unis ont l’intention de durcir régulièrement les sanctions contre la Russie, a fait savoir Kurt Volker, représentant spécial du département d’État américain pour l’Ukraine, à la conférence du Conseil de l’Atlantique à Washington. Le Premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a noté jeudi lors d’un entretien avec Euronews qu’en décrétant les sanctions, les États-Unis et l’Europe poursuivaient « des objectifs politiques purement intérieurs » en comprenant très bien qu’« il est impossible d’influer » sur la position de Moscou, « et tout le monde le comprend parfaitement ». Les échanges russo-américains n’étant pas très importants, le monde des affaires américain ne souffre pas vraiment des sanctions anti-russes, ce qui n’est pas le cas des entrepreneurs européens, a-t-il expliqué.
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